avril, 2024

2024sam13avr12:15Mémoires du Mozambique12:15 Catégorie:Documentaire court métrage

Détails de l'évènement

Présenté en partenariat avec le Festival international du Film Ethnographique du Québec, Ville de Montréal et Catarina Simao, artiste pluridisciplinaire et cinéaste avec la générosité d’Ophera Hallis

Deux cinéastes montréalais, Ron Hallis et Ophera Hallis ont contribué à la mémoire filmique du Mozambique dans sa lutte anticoloniale. Les précieuses archives invoquées par ces films renforcent la présence de ce passé qui résonne encore aujourd’hui.

Ron Hallis: (n. Ville Jacques Cartier, 1945), cinéaste, a fondé son propre laboratoire de film noir et blanc et réalisé plusieurs films au Mozambique durant la période post-coloniale.

Ophera Hallis: (n. Montréal, 1949) monteuse, preneuse de son et enseignante, a contribué significativement aux films réalisés par Ron Hallis.


Le colonialisme est tombé
, Ron Hallis et Ophera Hallis (1979) – 25 minutes

Au terme d’une guerre de libération de 14 années gagnée par le Frelimo ? La détermination et l’énergie du peuple à se débarrasser des séquelles du colonialisme portugais et à bâtir une société plus juste. (La Cinémathèque Québécoise)

Samora Machel – Son of Africa, Ron Hallis et Ophera Hallis (1989) – 28 minutes – Vues d’Afrique, Prix Hors Compétition, 1989.

Deux ans avant sa mort dans un accident d’avion que beaucoup pensent être le résultat d’un sabotage sud-africain, le président mozambicain Samora Machel a accordé aux cinéastes une interview exclusive, avec les commentaires du professeur John Saul de l’Université York, un ami personnel de Samora Machel et ancien professeur à Maputo. (Bibliothèque et Archives Canada)

Archives du changement, Catarina Simao (2024) – 30 minutes

Entre 1977 et 1982, des cinéastes canadiens se sont engagés dans un cinéma solidaire au Mozambique. Cette recherche est née de la rencontre de Simão avec l’un de ces premiers films des archives mozambicaines et d’autres contributeurs canadiens figurant aux génériques techniques des premières années. Les contre-coups qu’avait pu produire cette présence-témoin, à l’heure où la décolonisation de l’Afrique australe imposait une nouvelle forme d’action historique sur les images.

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